L’Internet est maintenant le roi de la communication mondiale, c’est évident qu’on ne peut pas le nier. Mais en Afrique, l’Internet est encore loin d’être le cas, la statistique de l’Union Internationale des Communications a constaté que l’Afrique est encore en retard dans le domaine du Web.
La situation du Web en Afrique
La crise sanitaire, devenue très vite en crise sociale, puis en crise humanitaire, a impacté la vie quotidienne des gens en Afrique. Ce qui nécessite un grand aide en Afrique aujourd’hui, est le côté agricole, 70 % de la souche de la population africaine puise sa ressource dans le domaine de l’agriculture et l’élevage. Ce qui est pratiquement logique, vu les hectares de terrain encore cultivable. Si l’on parle de la baisse de la connectivité sur Internet en Afrique, c’est aussi logique parce que bon nombre des villes de l’Afrique n’ont pas de ressource d’électricité stable et de l’eau potable. Il y a tout de même quelques pays qui sont à jour sur leur taux de connectivités.
Le taux de connectivité en Afrique
Logiquement, ces pays disposent une grande potentialité de touristes qui ont vraiment besoin de connexion Internet pour la communication envers son pays natal, pour continuer ses activités professionnelles même en vacances.
Maroc
Selon cette enquête, environ 62 % de la population est connecté. Le marché du net est en train de progresser depuis quelques années déjà au Maroc. D’ailleurs, plus de concurrents ont répondu à l’événement de « Maroc Web Awards » qui vient de commencer le 18 janvier et s’achèvera le 15 février prochain.
Les Seychelles
Les îles de Seychelles sont également configurées dans la liste des élites du Web avec une statistique de 59 % de connectivité. C’est vraiment dû à l’afflux des touristes. D’ailleurs, chaque île de ce pays est dotée d’une infrastructure à fibre optique.
Ce sont les deux pays qui sont très actifs dans le domaine du Web. Pour Rwanda, l’Afrique du Sud, le Cameroun, le Kenya et plus de 54 autres pays sont également en cours de progression dans le secteur Web.